EXPERTISES PAR SECTEUR

Solidarité & inclusion

Après une crise sanitaire sans précédent et un taux d’inflation historique, la lutte contre la pauvreté et les inégalités économiques sont des préoccupations majeures en France. Les organisations et acteurs de la solidarité doivent plus que jamais relever le défi de mobiliser les ressources suffisantes pour pallier les besoins des populations les plus vulnérables. Plus d’un tiers des Français se mobilise donc en donnant de son temps ou de l’argent…

Notre agence de communication se met au service des associations et organisations qui agissent en faveur de l’inclusion et de la solidarité.

1 Français sur 3

fait du bénévolat

7,6 %

de la population française vit sous le seuil de pauvreté

1,5 million

d’associations actives en France

“Tout groupe humain prend sa richesse dans la communication, l’entraide et la solidarité visant à un but commun : l’épanouissement de chacun dans le respect des différences.”

Françoise Dolto

Dates-clés

Années 1890– Dans le sillon du « solidarisme » de Léon Bourgeois, mise en place progressive de la protection sociale et des premières lois d’assistance publique.

1901– Loi sur le principe général du droit d’association (1er juillet).

1948– L’article 20 de la Déclaration universelle des droits de l’Homme proclame le droit de s’associer librement.

1958– Le régime d’assurance chômage est créé en au travers de l’Unédic et des Assédic.

1988– Création du RMI (revenu minimum d’insertion).

2008– Le RSA (revenu de solidarité active) remplace le RMI.

Depuis 35 ans, la pauvreté ne baisse plus en France.

Après un fort recul pendant des décennies, la tendance s’est stoppée net au milieu des années 1980. La pauvreté touche principalement les moins de 30 ans et les jeunes les moins diplômés : 19 % des 18-29 ans sont pauvres, soit presque un sur cinq. Elle touche également, et sans grande surprise, les femmes seules avec enfants. En effet, 19 % des familles monoparentales vivent sous le seuil de pauvreté. Ces familles représentent aujourd’hui une famille sur quatre ; et dans 82% des cas, la mère élève seule son ou ses enfant.s. Sans compter que la pauvreté est un cercle vicieux : les enfants qui ont eu des parents pauvres subissent à leur tour le chômage ou obtiennent davantage des emplois précaires.

Comme l’écrit le Secours Populaire dans sa campagne de 2019, “il faut 6 générations pour sortir de la pauvreté. Ne les condamnez pas à la perpétuité”.

Il est donc urgent d’agir en faveur des populations les plus vulnérables et fragiles. Que ce soit une association comme L’Escale qui “accueille inconditionnellement les femmes victimes de violences conjugales” ainsi que leurs enfants ; ou les PEP, qui “accompagnent enfants, adolescents, adultes et leurs familles, dans une dynamique d’émancipation sociale et citoyenne et d’accès à l’éducation, à la formation, aux vacances et aux loisirs, au sport et la culture”.