EXPERTISES PAR SECTEUR

Produits & consommation

Plus de 8 Français sur 10

se sentent concernés par le développement durable

6,1 %

est la part du bio dans la consommation alimentaire des ménages.

+ 20 %

est l’estimation de la croissance du marché de la seconde main en France dans les prochaines années.

Parce que le textile est la 2ème industrie la plus polluante au monde, que le café, le chocolat ou la viande bovine sont les produits les plus aquavores, que les pesticides sont encore omniprésents dans notre alimentation, il est grand temps de revoir nos modes de consommation ! En adoptant une consommation plus responsable et une production plus durable, nous pouvons réduire notre empreinte écologique et ainsi préserver nos ressources, actuelles et futures. Ce changement sera autant bénéfique à la planète qu’à nous : la consommation durable protège des risques liés à la santé (utilisation de produits toxiques, etc.), promeut des pratiques commerciales éthiques (lutte contre l’exploitation humaine), etc.

Pour toutes ces raisons, notre agence de communication spécialisée dans les produits bio et durables, a à cœur d’accompagner ceux qui s’engagent pour une consommation responsable.

“Une société qui survit en créant des besoins artificiels pour produire efficacement des biens de consommation inutiles ne paraît pas susceptible de répondre à long terme aux défis posés par la dégradation de notre environnement.”

Pierre Joliot-Curie,
biologiste français & chercheur CNRS

Dès les années 70, on observe en France, et à travers le monde, une première remise en question de la société de consommation, initiée dans les années 50. En effet, un premier lien de causalité entre cette consommation de masse et des problèmes de santé sur l’homme et son environnement est mis en lumière. Des philosophes comme Hans Jonas posent dès ces années-là, la question de la responsabilité de la société face aux problèmes environnementaux : celle de préserver la terre qui l’accueille.

Cette nécessité de repenser notre relation avec l’environnement afin de le préserver s’est accélérée depuis les années 2010 avec la médiatisation du « développement durable ». Cette notion de développement durable cherche à responsabiliser l’individu qui doit changer ces manières de consommer et de produire.

Cette prise de conscience n’a cessée d’évoluer depuis. De fait, en plus de la question environnementale, les aspects éthiques et sociaux sont de plus en plus pris en compte par les consommateurs, qui deviennent plus attentifs au comportement des entreprises et aux modes de production des produits qu’ils consomment. Lorsqu’une entreprise ne donne pas assez d’éléments de preuves de son engagement, il est de moins en moins rare que les consommateurs la boycottent. Le pouvoir d’achat devient alors un moyen de pression, validant ou sanctionnant une entreprise ou un produit.

Paradoxalement, le système marchand du “bénéfice à tout prix” donne de plus en plus de pouvoirs aux consommateurs de lutter contre ses injonctions. Davantage autonome et décisionnaire, on parle aujourd’hui de “consom’acteur” : un individu capable de se renseigner, de critiquer, de faire entendre ses valeurs et de consommer en conséquence. En effet, se tournant vers de nouveaux modes de consommation, les Français font de plus en plus le choix de consommer moins mais mieux.

Consciente de ce phénomène, notre agence de communication spécialisée dans le Développement Durable s’engage auprès d’acteurs comme le collectif Commerce Équitable, qui “ promeut le commerce équitable en France et à l’international, pour accompagner et accélérer les transitions écologique et sociale des modes de production et de consommation”, le salon Marjolaine, lieu de rencontre “de tous les acteurs de l’agriculture biologique, de l’écologie, du développement durable et du bien-être au naturel” ou encore le collectif de vignerons engagés Gabriel & Co.

Dates-clés

1972– la Conférence des Nations unies créé le concept d’éco-développement.

1980– Apparition du concept de “développement durable”.

1985– Création du label “Agriculture biologique (AB)”.

1992– Sommet de la Terre – Conférence des Nations unies sur l’environnement et le développement à Rio de Janeiro.

1997– Création de Commerce Équitable France.

1998– Polémique autour de l’utilisation des OGM.

2003– La France lance sa stratégie nationale de développement durable.

Années 2010– Début de la contestation de la mode du tout jetable et de la fast-fashion.

2014– Loi sur l’Économie Sociale et Solidaire.

2021– La loi Climat et Résilience renforce la définition légale du commerce équitable : “l’agroécologie et la protection de la biodiversité sont reconnus comme partie intégrante du commerce équitable et le recours à un label pour toutes entreprises se réclamant du commerce équitable devient obligatoire”.